La lumière, c’est celle qui surgit de la prière. Ainsi, l’éclairage de la scène scinde la toile en deux parties : l’une à droite baignée par l’éclat des blancs et des bleus et l’autre à gauche assombrie par les tonalités de mauve. Ce contraste sépare deux mondes, celui des silhouettes statiques des fidèles en prière et celui des hommes qui se hâtent vers leur course quotidienne.